Aujourd’hui, ces événements sont oubliés. Personne n’est assez âgé pour en avoir été personnellement témoin. D’après Ada Thibodeaux, l’unique centenaire de Saxon Manor, cette histoire se racontait à la lueur des bougies, dans les tout premiers camps de mineurs, durant les années précédant l’arrivée de l’électricité dans le comté.