« Bulle et Ernest toisent souvent ces panoramas obscènes, la rétine irritée par mille couleurs criardes qui leur vendent des vacances sous cloches, des pilules de bonheur, des élixirs de calme, des cheveux en silicone, des parcs d’attraction sous acide, des tremplins pour une gloire aussi sordide qu’éphémère, des purificateurs d’air, d’eau, des assurances, des vêtements pour ainsi dire jetables, un bonheur en plastique, des hommes et des femmes ultra souriants qui rappellent que tout cela est un cirque qui ne convainc plus grand monde. »