« On clique, on se repait de l’horreur, on se paye des frissons qui laissent sans voix et sans volonté, qui n’autorisent que l’émotion ou l’effroi. Pas d’analyse, jamais. Mais des flashs, des alertes, des urgences, tout un tas d’injonctions qui obligent l’attention et détournent la réflexion.
Vendre l’apocalypse, plutôt que penser la renaissance. »