J’aurais dû demander à Vicky pourquoi, à son avis, avis qu’elle partage avec tant de gens, il est absolument nécessaire d’être toujours en mouvement, pourquoi il faut sans cesse courir d’un point à un autre. Peut-être était-ce là le secret de la douceur de Scott : il n’allait nulle part, il n’avait jamais eu l’intention de bouger et, depuis qu’il s’était retrouvé à Copenhague au lieu de Saigon, il avait su que, en fin de compte, tous les chemins mènent à la tombe et que cela n’est pas spécialement tragique.
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