Le monde des adultes était décidément bien difficile à appréhender pour un enfant de huit ans et demi.
Il aimait beaucoup Tonton Carlito, parce qu’il jouait toujours avec eux et leur ramenait souvent des sucreries. D’ailleurs, à part Judith, qui de toute façon n’aimait pas grand monde excepté son joueur de basket très grand et très moche, tout le monde l’adorait, l’oncle Carl. Seulement, chacun avait sa façon de le montrer.