Marco souffle. C’est reparti ! Il sent ses vieux réflexes de soldat de la lutte remonter. Merde ! Il se réveille alors doucement. L’italien est d’abord impressionné, il commence maintenant à percuter : cette étrange habitude qu’a le vieux à décoder les articles de la presse quotidienne nationale avec autant de minutie. Pépé ne dormait jamais, il veillait. Une guerre de l’ombre. Ses codes, ses informations, ses transmissions. »