"Ma deuxième vie a commencé dans un territoire peuplé de gouvernantes sadiques et d'enfants devenus eux-mêmes sadiques qui s'attaquaient à leurs compagnons. Ils formaient de petits clans, se faisaient appeler les "Loups garous", imitaient le comportement des voleurs et des meurtriers détenus au Goulag en arborant des tatouages dessinés au pastel."