La campagne de dénigrement qui vise Chaplin ne faiblit pas avec Monsieur Verdoux. Au contraire, le cinéaste devient l'une des cibles favorites d'une opinion publique en proie à une paranoïa croissante avec la guerre froide, et ui vilipende un artiste qui a toujours refusé de demander la nationalité américaine.
pp.76,77