Elle aurait souhaité ajouter d’autres mots, plus personnels, sur le devoir de mémoire, sur l’horreur de la guerre, sur cet amour interdit entre un militaire et une civile, mais elle n’en eut pas le courage. D’une part, parce qu’elle ne se sentait pas légitime d’aborder ces sujets qu’elle ne connaissait que par les leçons d’histoire.