Les gens m’ont regardé de travers, du genre : « Mais qu’est-ce qu’il a à la ramener, ce zombie ? ». J’ai alors compris que pour eux nous n’étions bons qu’à être étudiés, analysés, interrogés et que, le reste du temps, il fallait que l’on s’écrase, que l’on se comporte en gentil zombie docile.