Je reposai la pile et réexaminai les deux premiers dessins, que je plaçai côte à côte pour les comparer. Mes yeux ne cessaient de passer de l’un à l’autre, comme ces jeux qu’on fait quand on est enfant : il y a 9 000 différences, sauras-tu les repérer ? Je commençai à avoir le tournis. Peut-être à cause de la poussière.