Il ne m'a pas expliqué ce qu'il avait derrière la tête, il ne le faisait jamais, et je ne lui ai pas demandé non plus. Pour moi, c'était une sorte de protection. Si je ne savais pas, je ne risquais pas de réfléchir et d'avoir peur. Je pouvais le laisser me conduire n'importe où sans me poser de questions. (p.117)