Ils volent nos terres et massacrent nos frères bisons qu'ils laissent pourrir dans les plaines. Peu nous importe que ce soient de bonnes gens ou pas. Nous ne les avons pas invités. Nous ne leur avons pas offert nos terres. Nous n'avons pas dit à leur armée d'attaquer nos villages à l'aube en hiver, de détruire nos loges et de parquer les survivants dans leurs agences, sans le droit de sortir, sans assez à manger pour nos enfants, sans gibier à chasser.