Ce qui le bouleversait en lisant Anne Frank, ce n'était pas ce que tout le monde savait, à savoir qu'elle était morte comme des millions de juifs, mais qu'elle était de toute évidence vouée à devenir un grand écrivain. La mort d'oiseaux chanteurs percutant des vitres le rendait dingue. On avait devant soi une vie merveilleuse, puis on percutait une vitre et tout était fini. (p. 124)