C’est ainsi avec la Terre : elle ne s’arrête pas pour prendre en compte les drames quotidiens des êtres vivants. Elle continue à tourner et à vibrer. Je crois que c’est ce qui pousse les gens vers la foi, cette prise de conscience troublante que le monde matériel se poursuit sans eux, sans reconnaissance ni compassion, et qu’il en était et en sera toujours de la sorte, avant eux et après eux. (pp.116-117)