Mais l'homme n'est point autre chose qu'un rustre sans la moindre notion de bienséance et d'étiquette. Il est vrai que les daimyôs constituent un tas de polichinelles sans grand discernement, toutefois notre homme passe la mesure. Songez seulement que ses subordonnés ignorent tout du bon usage qui est de mise lorsqu'il s'agit de prétendre à quelque faveur ! Cela donne envie de leur demander ce qu'ils font au service de leur maître.