On était retournés dans le quartier est, et on était assis devant nos bières dans un petit bar musical enfumé, le Congo Bongo Club, fréquenté essentiellement par des Blacks. Une bière normale pour Leonard et une sans alcool pour moi. Ma commande avait semblé gêner le barman, qui faisait office de serveur, car il me l’avait apporté en douce et l’avait posée sur la table un peu comme un enfant malade confiant son flacon d’urine à une jolie infirmière.