Sans aucune discrétion, je récupère mon sachet de cé au fond de ma poche, le vide dans le creux de ma palme et plonge ma truffe dedans. Je missionne à sniffer la poudre tant mon zen est désaxé, termine le taf en léchant la paume de ma main. L’amertume de la èce couplée à celle du raisiné m’emplit le palais.