Elle emprisonne ma main et j’abdique. En un bond, me voila collée à son dos sur la selle. Je suis très mal à l’aise. D’abord, car je me retrouve à presque deux mètre du sol, mais aussi parce qu’aucun espace ne sépare son dos de ma poitrine. Elle va sentir que mon cœur bat la chamade et ce ne sera pas seulement à cause de l’adrénaline procurée par l’équitation.