Les rumeurs de guerre ajoutaient encore à l'activité de Londres, où la fin des vacances mettait sa turbulence. Et pour Jolyon qui ne venait que rarement en ville, les premières voitures automobiles et les premiers taxis, qui choquaient son sens esthétique, donnaient aux rues un aspect fiévreux. Il les comptait dans son hansom, et il calcula, que sur vingt voitures il y avait une automobile. "Il n'y en avait qu'une sur trente il y a un an, se dit il. Autant d'ajouté au vacarme, et à la puanteur générale." (p. 85)