Mais je compris aussi que, passé la cinquantaine, il vient un moment où une tasse de café froid peut vous pousser à réfléchir à la mortalité et que nous consacrons beaucoup trop de temps à nous demander ce que nous "ressentons" face à certaines choses alors que, dans la plupart des cas, ce que nous ressentons n'a aucune importance.