Les garçons apparaissaient régulièrement dans les salles d'audience des diverses chambres correctionnelles, comme mille autres avocats, et répondraient aux mêmes questions des juges qui s'ennuyaient à mourir. Ils passaient des accords avec les procureurs sur un coin de table, et pas ne leur avait posé des questions sur leurs antécédents. Il signaient de leurs faux noms les ordonnances et les documents officiels.