À Bowmore, l’eau représentait un défi quotidien. Le moindre verre était matière à réflexion et sujet de tracas. Il fallait en user avec parcimonie, car l’approvisionnement était incertain. Et chaque goutte qui vous entrait dans le corps ou vous effleurait la peau devait provenir d’une bouteille remplie à une source dûment inspectée et certifiée. Boire et cuisiner, c’était encore facile. Mais il y avait la toilette et le ménage. L’hygiène était un combat.