Dans mes rêves, Simon n’était plus qu’une silhouette aux contours mal définis – une image floue qui m’observait, tapie dans les recoins des pièces.
Mais ce soir-là, je vis son visage. Je me tenais à la fenêtre de ma chambre ; le soleil se levait. Simon, immobile dans les champs, me regardait fixement. Il finit par sourire ; je me sentis rougir comme la première fois où j’avais croisé son regard, en cours de littérature anglaise.