Pourtant, les fils de l'empereur furent élevés comme des chrétien et, si le nouvel édifice qu'il avait bâti révéla sa fragilité peu après sa mort en 337, Constantin n'en était pas moins parvenu à opérer une vraie rupture avec la tradition de la Rome classique. Au bout du compte, sans l'avoir voulu, il jeta les bases de l'Europe chrétienne et, par voie de conséquence, du monde moderne.