Durant la semaine qui suivit, je travaillai autant que le permettaient les circonstances : j’avais en moyenne deux fêtes par jour chez les uns ou chez les autres. On aurait dit que tous mes amis mariés avaient décidé que la période la plus propice aux réceptions se situait entre Noël et le jour de l’an, et je tenais à ce qu’ils fassent tous la connaissance de Peggy.