Je pénétrai dans le « club », dont les nombreux habitués s’amusaient avec ardeur en cette fin d’après-midi, si tant est que des joueurs aient jamais l’air de s’amuser. Ils maniaient cartes ou dés comme des pécheurs invoquant le ciel pour un peu de pardon. Ils poussaient convulsivement les poignées des machines à sous, comme si elles étaient des cerveaux électroniques capables de répondre à toutes leurs questions.