Tension et griserie, fatigue, mouvements, tout se confond en un grand rêve gris et, lorsque c’est fini, il est difficile de se rappeler comment c’était quand on tuait des hommes ou que l’on donnait l’ordre de les tuer. Alors, d’autres qui n’y étaient pas vous expliquent comment c’était et vous dites vaguement : « Oui, je suppose que ce devait être comme ça. »