« Liberté, Égalité, Fraternité », une belle devise, certes, mais une belle utopie encore plus sûrement. Il n’y avait que les saints et les sots pour croire que les hommes pouvaient naître et vivre égaux en droits et en devoirs. Dans toute société se dégageait toujours une oligarchie d’hommes regroupant les individus les plus forts et les plus intelligents, mais aussi et surtout ceux qui avaient le plus grand appétit, la plus grande soif de pouvoir et d’argent.