Je croyais que ma vie était finie, observe Snorri, mais je me dis que peut-être elle n’a jamais commencé.
Le gamin : Je ne sais pas grand-chose de la vie.
Snorri : On n’a sans doute pas besoin de savoir grand-chose de la vie, il suffit d’y entrer. Et de savoir l’accueillir lorsqu’elle vient à nous.