Il y aurait certainement des erreurs, certainement des victimes innocentes, mais cela, hélas, c'était la guerre ; lorsqu'on bombarde une ville, des civils meurent aussi. Que cela nous serait à l'occasion pénible, que notre sensibilité et notre délicatesse d'hommes et d'Allemands en souffriraient parfois, il le savait ; nous devrions triompher de nous-mêmes ; et il ne pouvait que nous rapporter une parole du Führer, qu'il avait entendue de sa propre bouche : Les chefs doivent à l'Allemagne le sacrifice de leurs doutes. Merci et Heil Hitler.