La souffrance est l’essence du cyclisme, et pas seulement à cause de ce qu’on exige d’un professionnel ; c’est aussi ce qui nourrit la passion du supporter. Un mélange pimenté d’épique et de sacrifice. Ce n’est pas un hasard si les spectateurs s’agglutinent dans les côtés des grands sommets: c’est là qu’ils assistent à l’autoflagellation qu’ils sont prêts à s’infliger pour le rester.