Les dame du Quartier latin, au temps où je le fréquentais, préféraient généralement l'intérieur des brasseries et des bals aux promenades sentimentales sous les arbres, et je crois bien, sans crainte d'être démenti par les gens sincères, qu'il en sera toujours ainsi, en dépit des lieux communs éternellement débités par les écrivains d'idéal et par les poètes.