Citations de José-Maria Escriva (22)
Ne fais pas de critique négative. Quand tu ne peux louer, tais-toi.
Il n'y a de monotonie que là où manque l'amour.
14 : Ne perds pas ton énergie ni ton temps qui sont à dieu, à jeter des pierres aux chiens qui aboient sur ton chemin. Méprise-les.
143 : Pour défendre sa pureté, Saint-François d’Assise se roula dans la neige, Saint-Benoît se jeta dans un buisson de ronce, Saint-Bernard se jeta dans un étang glacé. Et toi, qu’as-tu fais ?
(Note personnelle : voilà une invitation à la mortification)
Ton succès, c'était justement d'échouer. Rends grâce au Seigneur, et recommences!
235 : Examen : tâche quotidienne, comptabilité que ne néglige jamais celui qui gère un commerce. Or y a-t-il affaire plus importante que celle de la vie éternelle ?
(Note personnelle : il ne faudrait surtout pas oublier de vivre une vie terrestre avant, non ?)
Tourne le dos à l'Infâme s'il murmure à tes oreilles : "Pourquoi te compliquer la vie ?"
Persévérer par amour dans les petites choses, c’est de l’héroïsme.
Les saints ne furent pas des êtres anormaux, des « cas intéressants » pour un médecin moderniste.
Ils furent, ils sont normaux : de chair et d’os comme toi. – Et ils ont triomphé.
111 : Tu m’as bien fait rire avec ta prière impatiente. Tu lui disais : « Je ne veux pas vieillir, Jésus. C’est trop attendre pour te voir ! Alors, peut-être n’aurais-je plus le cœur à vif comme maintenant. Vieux, cela me paraît tard. Maintenant, mon union avec toi aurait un plus bel éclat, parce que je t’aime d’un amour de jouvenceau".
(Note personnelle : là, ça tend vers la pédophilie)
66 : Le prêtre, quel qu’il soit, est toujours un autre christ.
46 : Ne crois-tu pas que l’égalité telle que d’aucuns la comprennent, est synonyme d’injustice ?
Le bondieusard est au saint ce que le tartuffe est au dévot : une caricature.
Celui qui transige en matière d’idéal, d’honneur ou de foi, est un homme… sans idéal, sans honneur et sans foi.
Le silence est comme le portier de la vie intérieure.
Triomphe chaque jour de toi-même dès le premier instant, en te levant ponctuellement à heure fixe, sans concéder une seule minute à la paresse.
Ne néglige pas la lecture spirituelle. – La lecture a fait beaucoup de saints.
Pourquoi, lorsque tu juges les autres, mets-tu dans ta critique l’amertume de tes propres échecs ?
218 : Qu’il est beau de perdre la vie pour la vie !
(Note personnelle : voilà carrément une invitation au suicide)
172 : Si tu ne te mortifies pas, tu ne sera jamais un âme de prière.
(Note personnelle : Ici aussi c'st une invitation à se faire souffrir et ce, sans équivoque !)