Theodor avait toujours reconnu l'autorité étrangère, toute autorité qui se dressait face à lui. Il n'y avait qu'à l'armée qu'il était heureux. Il était obligé de croire ce qu'on lui disait, et quand c'était lui qui parlait, les autres aussi devaient le croire. Theodor serait bien resté à l'armée pendant toute sa vie.