Elle entendait encore le son du violon réduit brusquement au silence et voyait le ciel du soir tout proche, juste au-dessus de la verrière de l'atelier. Elle n'entendit pas les mouvements feutrés de Ludwig. Elle savait simplement qu'elle se trouvait enfermée là avec un homme dangereux qui la laissait tranquille, pour le moment, et elle profitait de cette heure qui lui restait comme un condamné profite des derniers instants qui le séparent du châtiment.