L’androgynisme, synthèse plastique, devait trouver sa forme parfaite chez ces Grecs, les esprits les plus synthétiques qui aient existé. De l’Apollon de Piombino à l’Apollon de Pompéi, de l’Hermès de Praxitèle à l’Eros de Centocelle et au Narcisse de Naples, l’art suit la combinaison de sexualités pour atteindre à une unité expressive.