De fait, malgré ma conviction que chacun est libre de faire ce qu'il/elle veut de son corps, je trouve le prototype féminin "quartier de viande" aussi humiliant et dégradant que le modèle voilé. Tous deux annulent l'authentique entité qu'est la femme, qui dépasse le traitement de son corps comme une marchandise en exposition, ou comme une tentation devant être effacée d'un coup de gomme noire.