Nulle part où se cacher ! Tante Caroline s’est étonnée de voir les larmes furieuses qui coulaient de mes yeux.
M’a demandé pourquoi, et j’ai dit que je voulais rentrer à la maison.
Je veux rentrer à la maison tout de suite.
— … ma propre chambre ! J’ai ma chambre à moi dans ma maison à moi et je déteste cette chambre-ci, je déteste ce lit, je déteste cet endroit, Maman et moi on a notre maison à nous, je veux rentrer à la maison.
Vite Tante Caroline m’a attrapé la main ; qui était en forme de poing, elle m’a écarté les doigts, et y a glissé les siens, et a serré ma main dans la sienne, fort.
— Oh, Jenna. Je sais bien.