C'est pourquoi le NKVD refusait de laisser Broz sortir du territoire soviétique. Il fallut attendre l'intervention de Dimitrov auprès du ministre de l'Intérieur, L.P. Beria, pour qu'il obtienne enfin l'autorisation de partir. S'étant plaint de la situation à Karaivanov, Walter s'était vu conseiller de s'adresser directement à Staline. Il avait alors fait cette réponse significative : "Mieux vaux que Staline ignore mon existence."