Je repense à mon cher prof d’art et je me demande si l’art me permet d’être davantage ou le contraire. Touriste de l’existence, est-ce que je ne me coupe pas de mes sensations comme une téléphage ou une droguée ? J’ai tendance à la compulsion. C’est un retrait, une fuite. Alors je me dis qu’il faut que j’arrête. Et si c’était bien quand même ?