Les pulsions (les pulsions de vie et de mort) ne sont pas considérées comme primaires: elles résultent d'une intériorisation des désirs énigmatiques des autres et elles charrient le résidu de ces désirs originairement extérieurs. En conséquence, toute pulsion est assaillie par une
étrangèreté et le "je" se découvre lui-même étranger à lui-même dans ses élans les plus élémentaires.