En 1878, l'accaparement des terres s'accélère avec la découverte de minerais de nickel. Une révolte concertée des tribus kanakes est lancée contre les Européens. Les grandes propriétés sont attaquées, des gendarmes tués. Le site minier doit être évacué. La répression reprend vite le dessus, les communards déportés sont mis à contribution, ils n'ont aucun problème à prendre les armes. Mais pas Louise Michel. Elle n'a jamais voulu combattre les Kanaks.