Qui a donc dit - ce doit être un Anglais - que le monde est l'œuvre du Diable, devenu fou ? C'était sûrement ce Diable-là qui, dans un accès de folie, avait créé la Rosalba, pour se faire le plaisir… du Diable, de fricasser, l'une après l'autre, la volupté dans la pudeur et la pudeur dans la volupté, et de pimenter, avec un conditionnement céleste, le ragoût infernal des jouissances qu'une femme puisse donner à des hommes mortels.