Autant l’infidélité stimule l’homme tout en le culpabilisant un peu, autant elle culpabilise la femme tout en la stimulant… un peu. Dans ces conditions, pouvoir confier à son mari le surplus de joies ou même d’ennuis que procure un amant, c’est se donner le feu vert et se décharger du lourd fardeau de la faute qu’une femme souffre de porter alors qu’un homme se flatte de le transgresser.