On allait sans se presser rejoindre l'autoroute, la voie par excellence du solitaire qui voyage. Pour une très bonne raison. Elle n'a pas encore perdu la guerre livrée par la sylve au revêtement, et son dégagement ne permet pas l'embuscade. Appréciable, dans un monde où la majeure partie des groupés vous regarde comme une possibilité de régler leurs problèmes alimentaires...