Love, etc. La proposition est simple. Le monde se répartit en deux catégorie : ceux qui croient que la finalité, la fonction, la pédale forte et la mélodie de base de l’existence se résument à l’amour et que le reste – tout le reste – est simplement un etc. ; et puis les autres : ces cohortes d’infortunés, dont la foi se borne etc. de l’existence, pour qui l’amour, en dépit de ses charmes, n’est qu’une passagère efflorescence de jeunesse, le fiévreux prélude au changement de couches de Bébé, et non pas quelque chose d’aussi solide, immuable et fiable que, disons, la décoration d’un foyer. Voilà la seule distinction entre les êtres humains qui, à mes yeux, ait quelque valeur.