Aujourd'hui, avec le recul, j'ai l'impression que je devais sans cesse me répéter cela pour mieux m'en convaincre : Juliane, tu vas bien, tu t'en es sortie ! Tu vas tout à fait bien ! Comme si je voulais qu'au moins on ne se fasse plus de souci pour moi, au milieu de tous ces gens dans le chagrin et l'affliction.