Il me supplie et je perds pied. La rancœur me submerge et je me fige, les larmes aux yeux. Un coup de vent balaie mes mèches courtes contre ma mâchoire et c’est comme l’écho lointain d’une caresse dont je ne voudrais plus, d’une berceuse que je voudrais sortir de ma tête. Et c’est plus fort que moi. Je veux qu’il le voit. Ce gouffre dans mon âme. Je veux qu’il comprenne ce qu’il a détruit en moi en disparaissant.