Il manquait les mots ! Alors ils créèrent les Ilnuat pour que les mots puissent continuer à faire vivre le monde. Car finalement, Kakwa, que serait ce monde s’il n’y avait les mots pour en dire la beauté ?
(p. 88, Chapitre 1, “Celui qui eut peur d’un ours qui ne voulait pas mourir”).